Triste nouvelle

Tout le monde voulait être l’ami(e) de Chris Vander Stappen, presqu’instantanément.
Eveillée et curieuse, elle vous regardait avec bienveillance et  écoutait vos idées, vos propositions avec attention.
Enthousiaste, prête à en découdre, le poing serré, elle vous insufflait du courage.
A côté d’elle, on sentait qu’une solidarité pouvait exister. Une forme d’amour.


Elle rendait les choses simples: les scènes se construisaient naturellement, sans barrières, sans problèmes d’égo.
Et tous ces mots: éveillé, curieuse, bienveillance, enthousiasme, courage, solidarité, amour et d’autres encore
existaient dans ses films, ses scénarios.
Ses mots résonnent encore en moi.
Elle va nous manquer.
Laurent Brandenbourger, au nom de l’Asa.

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